
By Kurz Wilfried
ISBN-10: 2880744024
ISBN-13: 9782880744021
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14 (a)) et qui conduisent à créer trois liaisons σ avec 33% de caractère s. Chaque atome de carbone de la molécule d'éthylène, qui est configuré sp2 (fig. 14 (b)), est lié à l’autre atome de carbone et à deux atomes d'hydrogène par trois liaisons σ. Il reste sur chaque atome de carbone une orbitale atomique 2pz qui n’a pas été employée. Ces deux orbitales se combinent pour former une liaison π . Le plan (x,y), qui contient les noyaux des deux atomes de carbone et les quatre atomes d'hydrogène Atome, molécule et liaison chimique 37 z z (a) + x • x y y 2s 4 orbitales sp 3 2p x + 2p y + 2p z H • (b) •C H H H H •C • • H • H H H • H (c) • •C H θ = 109,5° • • (d) H C H H H H FIG.
2), on calcule les régions de l’espace dans lesquelles la probabilité de trouver l’électron est égale à 50, 90, 99 %, ... (fig. 1(b)). On choisit en général, comme limite de l’orbitale, la surface qui délimite la région de l’espace dans laquelle la probabilité de trouver l’électron est égale à 95% . Ce n’est pas parce que la densité de probabilité ψ 2 passe par un maximum lorsque r = 0, que l’électron a une probabilité maximale de se trouver confondu avec le noyau. Pour calculer l’orbite la plus probable, il faut également tenir compte du volume dans lequel l’électron a la possibilité d’évoluer.
Pour déterminer l’orbite la plus probable de l’électron, on calcule la probabilité de trouver l’électron à l’intérieur d’une coquille sphérique de rayon r et d’épaisseur dr. Cette probabilité, qui est égale au produit du volume de la coquille 4πr2dr par la densité de probabilité en un point ψ2, permet de définir la densité de probabilité radiale P(r) = 4π r2ψ2. Atome, molécule et liaison chimique 23 FIG. ; (c) densité de probabilité radiale P (r) = 4π r2ψ2 · ao = 0,0529 nm. 1(c) permet de définir l’orbite la plus probable.
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